[...] Deux effets souvent sous-estimés limitent les gains réels tirés des rénovations. Les ménages pauvres habitant des passoires thermiques restreignent leur consommation. Après rénovation, ils se chauffent mieux, annulant ainsi une partie de l'économie d'énergie : c'est l'"effet rebond". De plus, les comportements réels des habitants ne correspondent pas toujours aux théories des architectes : ils ouvrent les fenêtres, surchauffent, oublient de fermer leur robinet...
Manuel DOMERGUE, Alternatives Economiques, 10/2012, p. 45.
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