Niches médiocres...

Lorsque l'impôt est de 15 %, l'artisan n'a plus envie de faire du noir. Lorsqu'il n'y a plus de niches, le contribuable arbitre ses investissements en fonction de leur intérêt et de de leur rentabilité effective plutôt qu'en fonction d'avantages fiscaux souvent prétextes à cacher la médiocrité des projets et/ou leur absence de rendement.
L'Express, 03/2012, p. 82.

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