[...] On se trompe [...] quand on assimile nos économies monétaires à des économies purement marchandes, en associant du coup le combat en faveur de la décroissance à la lutte contre la "marchandisation du monde" : les économies développées se caractérisent en effet par une hausse tendancielle de la part des richesses qui échappe à une logique purement marchande et privée, via les fameuses "dépenses publiques".
Guillaume DUVAL, Alternatives Economiques, Hors-Série n° 97, p. 71.
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