[...] Les sociétés polygames ne sont pas nécessairement les plus phallocrates. [...] Les co-épouses ne sont pas toujours unies, elles peuvent même se détester. Mais il arrive qu'elles s'entendent pour défendre collectivement leurs droits. Par ailleurs, elles ne sont pas enfermées. A part dans le harem, la femme qui n'est pas heureuse fuit et rentre chez ses parents. Si cela se reproduit, la famille rompt le mariage. [...] S'il veut conserver ses femmes, le polyandre [sic][l'homme polygame] doit en principe bien les traiter.
Laurent BARRY, Philosophie magazine, 07-08/2012, p. 63.
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