Une étude menée par l'université de Stanford en 2009, consistait à isoler, d'un côté, de fervents adeptes du multitasking dont l'attention se déplace constamment d'une activité à l'autre, et de l'autre, des individus plus concentrés sur ce qu'ils font. Chacun des groupes devait réaliser six tests de cognition. Les individus les plus versés dans le multitasking ont obtenu des résultats nettement moins bons dans tous les cas.
Nicholas CARR (propos receuillis par Julien CHARNAY), Philosophie Magazine, 09/2012, p. 43.
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