Le secteur des universités aux États-Unis, donne des activités et des distractions à beaucoup de ceux qui, s'ils étaient en Europe, passeraient leur fin d'adolescence dans les rangs des jeunes sans emploi. Le jeune Américain moissonne ainsi les bénéfices psychologiques de l'oisiveté légitimée et des rituels de succès qu'assurent les universités de premier et second cycles à cette époque de la vie. En général, il en sort en se sentant reconnu et non déprimé. Comme solution au chômage des jeunes, le système des universités américaines doit être compté au nombre des grands triomphes de l'imagination humaine, ou peut être du hasard aveugle.
Les moissons de la fac...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire