La liquidité que procurent les spéculateurs sur les marchés où ils interviennent ne bénéficie qu'à d'autres spéculateurs, et cela bien entendu, uniquement à des niveaux de prix spéculatifs, c'est-à-dire en réalité à des niveaux de prix très éloignés de ceux que déterminerait le simple rapport de forces entre acheteurs et vendeurs [...].
Paul JORION, Misère de la pensée économique, Fayard, p. 174.
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